![Alliance canadienne de kinésiologie - Logo](https://cdn.ca.yapla.com/company/CPYAqmN6sA5dtX7Tfy3DpJ0b/asset/images/logo-cka.jpg)
Par Alexandre Pare, kinésiologue
Avec le port plus répandu du masque, il est d’actualité de se questionner sur l’enjeu du port du masque lors de la pratique d’activité physique. Au cours des derniers mois, notre attention a été attirée spécialement par 2 études qui ont tenté de déterminer si le port du masque chirurgical ou du masque N95 avait des effets particuliers sur les performances lors de la pratique d’activités physiques cardiovasculaires intenses.
Par Charmi Lad, kinésiologue enregistrée
Le printemps approche à grands pas, ce qui signifie plus de soleil, un temps chaud, des activités de plein air et de l'exercice. Avec la pandémie de Covid-19 toujours en cours, devoir nous isoler de nos amis et de notre famille a un impact négatif sur notre santé et notre bien-être.
Par l'Association canadienne pour la santé mentale, avec le soutien de kinésiologues
Le printemps est arrivé et l’espoir renaît, mais tout le monde ne se sent pas forcément en pleine forme. L’hiver a été rude et votre monde intérieur est peut-être encore en train de dégeler. Rien là de grave! Avant de laisser entrer les rayons du soleil, il peut être utile de réfléchir à la période difficile que vous traversez. Selon les scientifiques, le fait d’exprimer nos sentiments négatifs à l’aide des mots peut nous aider à comprendre et à contrôler les expériences émotionnelles négatives. Autrement dit, la meilleure chose à faire avec les émotions désagréables, ce n’est pas de les engourdir, mais bien de les nommer.
Par l'Association canadienne pour la santé mentale, avec le soutien de kinésiologues
Une fausse idée très commune est qu’une « bonne santé mentale » signifie être heureux et qu’une « mauvaise santé mentale » signifie être triste. En fait, une vie saine et en bonne santé mentale comprend toute une gamme d’émotions, même celles qui sont désagréables comme la tristesse, la peur et la colère. Les émotions sont inhérentes à l’expérience humaine.
Par l'Association canadienne pour la santé mentale, avec le soutien de kinésiologues
Les émotions jouent un grand rôle dans notre vie, dans nos actions et nos relations. Pourtant, la plupart d’entre nous en connaissent étonnamment peu sur leurs propres émotions, leur façon de les vivre et ce qui les fait naître. Certains psychologues diraient que ce phénomène dénote un faible niveau de « littératie émotionnelle ».
Par l'Association canadienne pour la santé mentale, avec le soutien de kinésiologues
Apprendre à nommer ses émotions a des bienfaits sur plusieurs plans. Voici quelques conseils pour vous aider à muscler votre capacité à nommer ce que vous ressentez :
Par Kerri Blackburn, kinésiologue
Avant la pandémie de COVID-19, 36 % des Canadiens déclaraient déjà avoir des problèmes de sommeil, comme des difficultés à s'endormir, à rester endormi et à se réveiller tôt le matin.La solution est-elle aussi simple que d'ajouter plus de mouvement à notre journée?
Joindre le geste à la parole : voici pourquoi les kinésiologues souhaitent participer aux discussions sur la santé mentale
Des études et la pratique de la kinésiologie démontrent que s’adonner régulièrement à une activité physique est un moyen d’améliorer son bien‑être mental, même chez les personnes qui vivent avec la dépression et l’anxiété
Nous parlons rarement du rôle que peuvent jouer les kinésiologues pour réduire les obstacles à la santé mentale ou concevoir une stratégie de bien‑être mental.
Pourtant, à mesure que les kinésiologues approfondissent l’historique de santé de leurs clients, ils constatent souvent une récurrence de troubles de santé mentale.
Ça se produit chaque fois que nous nous saluons. En personne, par texto, au téléphone. Quelqu’un nous demande comment ça va. Par politesse. Par convention sociale. C’est une façon de nous informer les uns des autres et d’établir des liens entre nous.
Or, bien souvent, ne répondez-vous pas « Je vais bien, merci »? Vous n’êtes pas les seuls. C’est le cas pour la plupart d’entre nous. Mais peut-être, et je dis bien peut-être, que si nous répondions autre chose que seulement « Je vais bien », nous tisserions des liens plus significatifs.
En fait, lorsque nous ralentissons pour identifier les émotions que nous ressentons véritablement, nous pouvons améliorer notre humeur ainsi que notre façon de communiquer et d’entrer en relation avec les autres. Reconnaître et verbaliser ce que nous ressentons vraiment peut enrichir nos relations.
Alors, que pouvez-vous dire au lieu d’un simple « Je vais bien »?
La pandémie de COVID‑19 est nouvelle et inattendue. Cette situation peut être déstabilisante et provoquer un sentiment de perte de contrôle. Il est normal pour les individus et les collectivités de ressentir de la tristesse, du stress, de la confusion, de la peur et de l’inquiétude. Chacun peut réagir différemment.